lundi 10 mars 2014

Google Play Musique : le mode hors-ligne s’étend aux radios (mix instantanés)

Parallèlement à Play Jeux, Google met à niveau son application Play Musique. Il en améliore le mode hors-ligne qui permettra maintenant d’écouter vos radios favorites, même lorsque vous n’êtes pas connecté à Internet.


android google play musique hors-ligne offline déconnecté radio favorités préférées image 01


Devenu un concurrent de taille face aux pionniers du secteur, Google Play Musique s’est fait une place sur le marché des services de musique à la demande, mais pas seulement. Né de l’unification entre Google Music et l’ancien Lecteur de musique natif d’Android, Google Play Musique propose également les bases d’un lecteur musical standard où vous pouvez importer votre propre bibliothèque musicale, profiter d’un égaliseur et acheter de la musique sur le Google Play. Les fonctionnalités restent plutôt limitées mais les alternatives sont là pour pallier cela.


Grâce à la dernière mise à niveau de l’application, ses utilisateurs vont désormais pouvoir épingler les radios, mais aussi les réécouter en mode déconnecté (hors-ligne). Conjointement, une nouvelle option « Lire le titre suivant » a été ajoutée au menu contextuel. Concernant la file d’attente, retenez également que la source (playlist, album, etc.) des titres que vous écoutez est désormais affichée. Enfin, l’éditeur Google a également apporté de nombreux correctifs au sein des fonctionnalités d’activation et de désactivation de la lecture aléatoire, qui sera désormais plus intelligente en mélangeant mieux les titres.


La mise à jour de Google Play Musique est actuellement en cours de déploiement sur le Google Play :


Google Play Musique
Google Inc.


Avec l'application Google Play Musique, vous pouvez écouter votre bibliothèque musicale où que vous soyez. Tous vos titres musicaux sont stockés en ligne. Vous n'avez donc plus à vous soucier de la synchronisation ni de l'espace de stockage.* Les titres que vous achetez sur Google Play apparaissent automatiquement dans l'application.* Vous pouvez ajouter gratuitement jusqu'à...


Toujours pas reçu la mise à jour, Android Police a pris le soin de nous partager le fichier APK (signé par Google).

Tony Balt

Comme beaucoup d'autres, en 2009, je suis tombé dans le bain d'Android. Depuis quelques années, j'ai pu acquérir une connaissance plutôt vaste autour de plusieurs systèmes d'exploitation mobiles, que j'essaie de vous retransmettre chaque jour par cette passion.


http://nouveau-smartphone.blogspot.com/

Galaxy Glass et réalité augmentée : Samsung veut transformer vos mains en clavier

AppId is over the quota AppId is over the quota

Voilà qui promet de belles tendinites aux mains des frénétiques du SMS et de l’email, si cette demande de brevet, déposé fin février par Samsung, aboutit bien à une invention concrète. Mais sur le papier, l’idée a l’air plausible : utiliser des lunettes à réalité augmentée pour taper votre texte avec pouces et phalanges.


patent-samsung-hands-keyboard-AR


Nous en avions déjà parlé, mais Samsung est intéressé par la fabrication de Galaxy Glass afin de se mettre en concurrence avec les Google Glass. Produire un modèle de lunettes connectées après celles créées par Google est l’occasion pour Samsung de réfléchir aux points faibles du dispositif. Et de faut, on peut dire que la saisie de texte est assez difficile. Il y a bien la reconnaissance vocale mais cette dernière peine dans les environnements bruyants.


Voici donc l’idée du Sud-Coréen pour remédier au problème de la saisie de texte : la réalité augmentée pourrait transformer vos mains en clavier. Les paumes vers le ciel, chaque phalange accueillerait une lettre et votre pouce n’aurait plus qu’à taper dessus.patent-samsung-hands-keyboard-ARSamsung a même pensé à une version à une main. On retrouve le même système de phalanges avec des sections de trois lettres, comme sur nos vieux téléphones portables.


patent-samsung-hands-keyboard-AR


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L’idée est intéressante, mais il y a des limites : taper un mail en marchant risque de poser pas mal de problèmes pour la reconnaissance des gestes et pour l’affichage en réalité augmentée. De plus, une application exploitant la caméra entamera facilement l’autonomie des lunettes. Il reste quelques recherches à réaliser pour régler ces difficultés : la route vers la commercialisation est encore longue, d’autant plus qu’un dépôt de brevet ne nous assure pas de l’utilisation effective de la technologie.

potierleo

Sous la direction du Rédacteur en Chef Ulrich Rozier. Stagiaire à Frandroid & Frawin, passionné médias, nouvelles technologies... Linuxien converti et averti depuis 2004. Monde du libre, quand tu nous tiens ! La question des données personnelles et privées déclenche généralement une réaction épidermique chez moi, en particulier quand elles sont sujettes à une commercialisation.

Google Play Musique : le mode hors-ligne s’étend aux radios (mix instantanés)

Parallèlement à Play Jeux, Google met à niveau son application Play Musique. Il en améliore le mode hors-ligne qui permettra maintenant d’écouter vos radios favorites, même lorsque vous n’êtes pas connecté à Internet.


android google play musique hors-ligne offline déconnecté radio favorités préférées image 01


Devenu un concurrent de taille face aux pionniers du secteur, Google Play Musique s’est fait une place sur le marché des services de musique à la demande, mais pas seulement. Né de l’unification entre Google Music et l’ancien Lecteur de musique natif d’Android, Google Play Musique propose également les bases d’un lecteur musical standard où vous pouvez importer votre propre bibliothèque musicale, profiter d’un égaliseur et acheter de la musique sur le Google Play. Les fonctionnalités restent plutôt limitées mais les alternatives sont là pour pallier cela.


Grâce à la dernière mise à niveau de l’application, ses utilisateurs vont désormais pouvoir épingler les radios, mais aussi les réécouter en mode déconnecté (hors-ligne). Conjointement, une nouvelle option « Lire le titre suivant » a été ajoutée au menu contextuel. Concernant la file d’attente, retenez également que la source (playlist, album, etc.) des titres que vous écoutez est désormais affichée. Enfin, l’éditeur Google a également apporté de nombreux correctifs au sein des fonctionnalités d’activation et de désactivation de la lecture aléatoire, qui sera désormais plus intelligente en mélangeant mieux les titres.


La mise à jour de Google Play Musique est actuellement en cours de déploiement sur le Google Play :


Google Play Musique
Google Inc.


Avec l'application Google Play Musique, vous pouvez écouter votre bibliothèque musicale où que vous soyez. Tous vos titres musicaux sont stockés en ligne. Vous n'avez donc plus à vous soucier de la synchronisation ni de l'espace de stockage.* Les titres que vous achetez sur Google Play apparaissent automatiquement dans l'application.* Vous pouvez ajouter gratuitement jusqu'à...


Toujours pas reçu la mise à jour, Android Police a pris le soin de nous partager le fichier APK (signé par Google).

Tony Balt

Comme beaucoup d'autres, en 2009, je suis tombé dans le bain d'Android. Depuis quelques années, j'ai pu acquérir une connaissance plutôt vaste autour de plusieurs systèmes d'exploitation mobiles, que j'essaie de vous retransmettre chaque jour par cette passion.


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Google Play: 2 ans déjà et in-app achats, jeux et promo du film !

Le 6 mars 2014, Google a célébré deux ans de boutique de jeu de Google. Pour l'occasion, le groupe a lancé une série de promotions en collaboration avec certains grands éditeurs de jeux mobiles. Au programme, quelques micropaiements de jeux tarif réduction, mais aussi des jeux et des films à prix réduit.


android google play 2 ans joyeux anniversaire image 00


Seulement deux ans, le 6 mars 2012, Google fait son célèbre marché Android, Google jeu. Changement de nom, Google introduits progressivement de nouveaux services du portail (jouer de la musique, livres et films de jeu). Aujourd'hui, Google centralisé applications et jeu Jeux, mais aussi des livres, musique, films, vendant des appareils mobiles (smartphone et tablette Google Nexus, ainsi les éditions dans le jeu des États-Unis) et accessoires (couvercles, stations d'accueil) pour le second.


Soufflant son deuxième anniversaire, Google permet aux utilisateurs de profiter des 19 matches en promotion. En vérité, il n'est pas vraiment les jeux qui se trouvent dans la promotion, mais plutôt les Micropaiements implémenté dans ce dernier. Parmi eux se trouvent Dungeon Keeper, Fifa 14, Nations Unies et amis, Sims FreePlay, Dead Ahead, l'asphalte de mot à bras 8: Airborne et environ 12 autres titres disponibles sur Google.  Sans oublier le jeu (le Prince de Perse 4 Modern Combat, The Amazing Spiderman, besoin for Speed Most Wanted, Rayman Jugnle courir, etc.) et film (Fast and Furious 6, Pacific Rim, Prométhée, Avatar, Rio, 28 jours plus tard, iRobot, Minority Report, homme d'acier, Ocean 13, Underworld, Blade Runner, etc.) à un prix réduit. Ne précise pas la période de promotion, mais il devrait durer quelques jours encore.


Liste complète des promotions disponibles :

Tony Balt

Comme beaucoup d'autres, en 2009, est tombé dans la salle de bain d'Android. Ces dernières années, j'ai ont acquis une connaissance assez étendue autour des systèmes d'exploitation plus mobiles, essaie de retransmettre tous les jours de cette passion.


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dimanche 9 mars 2014

Google prépare une mise à jour pour réparer un bug du Nexus 5

Google va prochainement déployer une mise à jour pour le Nexus 5 en raison d’un bug dans la liaison appareil photo-processeur. Ce bug provoque la baisse rapide de l’autonomie de l’appareil. 


Google Nexus 5


Les Nexus n’ont jamais été réputés pour leur autonomie exceptionnelle, et le modèle de LG ne fait pas exception. Certains utilisateurs se sont plaints d’un déchargement trop rapide de leur batterie dû à l’utilisation de l’appareil photo du mobile. Il s’agit en fait d’une sur-consommation du processus mm-qcamera-daemon, qui gère les relations entre l’appareil photo, le MediaCodec et le processeur. Ce processus est visible dans les paramètres de la batterie, et en plus de tourner sans cesse une fois enclenché, on ne peut pas en forcer l’arrêt. La seule solution consiste alors à redémarrer l’appareil. Fastidieux.


Ayant reçu de nombreuses sollicitations, Google a décidé de prendre le taureau par les cornes. Par le biais d’un forum dédié, la firme américaine a expliqué qu’elle travaillait à la résolution du bug, et qu’une mise à jour serait prochainement déployée. Quant à la date, une employée explique : « malheureusement, je ne peux pas vous dire quand cette maintenance sera effective à cause de tous les tests que nous effectuons. Pour le moment, redémarrer le mobile est le seul moyen d’empêcher cette sur-consommation de la fonction caméra ».


Google a également indiqué que ce problème pouvait survenir sur des appareils d’autres marques. Dans ce cas, c’est directement auprès du fabricant concerné qu’il faudra s’adresser. Le Samsung Galaxy Note 3, par exemple, est sujet au même bug. Mais concernant la firme coréenne, aucune annonce n’a été faite quant à la résolution du problème.

Goophone n’attend pas la sortie du All New HTC One pour le cloner

Le spécialiste du clonage Goophone est bien connu de ceux qui suivent de près l’actualité des smartphones haut de gamme. Dès qu’un nouveau Samsung Galaxy sort belote. Quand un HTC s’apprête à sortir son All New One, rebelote. Même à presque trois semaines de l’annonce.


Goophone M8


Les fuites s’étant multipliées sur la toile depuis plusieurs semaines, avec force photographies publiées par @evleaks et même une vidéo mise en ligne par un indélicat, on sait à peu près tout du design de ce futur All New One. Le prochain HTC sera habillé d’une coque métallique affinée et légèrement arrondie, de haut-parleurs BoomSound en façade et d’un double capteur photo au dos associé à un double flash.


Goophone ne s’encombre pas de telles subtilités chez son M8 – doux nom emprunté au code désignant le prochain One – puisque seule la façade de son appareil reprend celle attendue chez HTC. Au dos, un capteur photo standard avec un seul flash, pour un terminal aux caractéristiques au demeurant intéressantes : un écran Full HD 1080p de 5 pouces, un processeur MediaTek quadricœur à 1,7 GHz, un capteur photo dorsal de 12,6 mégapixels et une batterie de 2800 mAh, le tout sous Android 4.2 Jelly Bean. Pour 229 dollars, on ne peut pas en demander plus de celui qui s’est déjà attelé au clone du Galaxy S5 de Samsung, officialisé il y a une dizaine de jours – et tout de même plus abouti.


Pour ceux qui préfèrent attendre le véritable M8 de HTC, rendez-vous le 25 mars prochain, date à laquelle le Taïwanais tiendra une conférence à New York et à Londres.

Laure Renouard

Passionnée de nouvelles technologies, je suis à l'affût des dernières innovations dans le monde de la mobilité. Mon smartphone ne me quitte d'ailleurs (presque) jamais !

HTC présente le Desire 310, son entrée de gamme à 150 euros

HTC fait couler beaucoup d’encre et de pixels en raison du All New HTC One qui sortira à la fin du mois. Dans le sillage de ce prochain flagship, se dégagent d’autres smartphones, comme le HTC Desire 310, dont le Taïwanais annonce aujourd’hui la sortie officielle.


HTC-Desire-310


L’accent a été mis sur la rapidité de ce nouveau terminal, presque officialisé il y a quelques semaines lors d’une fuite sur le site de la marque. D’un poids de 140 grammes, le HTC Desire 310 (132,44 x 68,03 x 11,25 mm) est un smartphone double-SIM 3G que l’on avait pris, au tout début, pour un smartphone minimal d’entrée de gamme. L’analyse de sa fiche technique ne va pas exactement dans ce sens : processeur quad-core MediaTek cadencé à 1,3 GHz, 1 Go de RAM, 4 Go de ROM (extensible jusqu’à 32 Go par carte SD). L’écran mesure 4,5 pouces (résolution FWVGA soit 854 x 480 pixels), c’est plutôt modeste. HTC propose Android 4.2 Jelly Bean avec BlinkFeed. C’est dommage, à l’heure où LG lance trois terminaux d’entrée de gamme sous Android 4.4 KitKat, mais le choix de MediaTek pour le SoC de l’appareil explique le retard de l’appareil en termes d’OS. Le capteur arrière du HTC Desire 310 affiche 5 mégapixels, pour l’appareil photo frontal, c’est minimum syndical : un capteur VGA.


Bien entendu, on ne peut pas juger du produit sans un test approfondi du HTC Desire 310. Mais les choix de HTC se sont orientés vers un terminal plutôt modeste, clairement destiné à l’entrée de gamme. Le Taïwanais vendra dans quelques temps le HTC Desire 610, un milieu de gamme 4G. On en reviendra donc toujours à la même conclusion : le sort du HTC Desire 310 tiendra à son prix de vente. Pour la France, comptez sur un tarif de 149 euros en France à la mi-avril, en blanc, bleu marine ou, pour ceux qui l’osent, en orange.

potierleo

Sous la direction du Rédacteur en Chef Ulrich Rozier. Stagiaire à Frandroid & Frawin, passionné médias, nouvelles technologies... Linuxien converti et averti depuis 2004. Monde du libre, quand tu nous tiens ! La question des données personnelles et privées déclenche généralement une réaction épidermique chez moi, en particulier quand elles sont sujettes à une commercialisation.


 

Huawei prépare Kirin 920 SoC capables de rivaliser avec le 801 Snapdragon de Qualcomm

La guerre des processeurs n'est pas juste entre Qualcomm et MediaTek aussi Nvidia et Intel. Maison à certains fabricants de smartphone ont aussi leur rôle à jouer, comme le prochain Kirin 920 de Huawei.


Kirin 920


Certains fabricants de smartphones sont également des heures de processeurs, ou plutôt les concepteurs de la SoC. Nous pensons notamment à Samsung, qui a plusieurs générations de Exynos, mais également pour Huawei et LG, qui dit qu'Odin serait en cours. La partie chinoise très en forme Huawei enfin MWC, un Kirin 920 est à suivre et a déjà été mis à l'épreuve. Alors que cette puce de marque, généralement de bonne qualité, sont loin d'être correspondant à leurs concurrents qui pourrait Kirin changement donne à la fin de l'année, alors que le marché attend.


Ce que serait cette Kirin 920 ? S'il n'est pas officiel, devait découvrir un octo-core processeur composé de quatre coeurs en écorce-A7 pour l'économie et les autres quatre Cortex-A15, tous capables de supporter les définitions d'écran jusqu'à 2 K et même 32 mégapixels de capteurs. Tout cela reste bien sûr la théorie et on dit qu'un appareil avec cette Kirin afficherait une feuille de données aussi avancé.


Kirin 920


Un point de référence dans la nature afin de mieux évaluer la puissance des Kirin 920, au moins sur le papier. Selon les notes obtenues sur AnTuTu, classement, juste au-dessus du processeur, un Qualcomm Snapdragon 800 (mais sous un Snapdragon et 805), avec plus de 37 000 pris au comptoir. Ces résultats ont été obtenus avec un appareil photo pour « tester » affichage de Full HD 1080 p et 2 Go de RAM. Belle promesse qui jouent sur les jetons de nom l'octo-core, certainement très à la mode en ce moment, c' est MediaTek, Samsung et Huawei.

Laure Renouard

Passionné de nouvelles technologies, sont à l'affût de l'actualité dans le monde de la mobilité. Mon smartphone (ou presque) ne jamais me laisser !


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Joe Mobile: 4 G LTE à venir bientôt !

Grâce à un tweet, le CEO de Joe Mobile a lancé un « teasing » annonçant l'arrivée de la 4 g LTE. Joe Mobile, MVNO de SFR, permet d'accéder à H + (jusqu'à 42 Mbit/s débit faible) en juin 2013.


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Aucune date de lancement ou de prix, M. Horn maintient le suspense jusqu'à la fin. Joe est l'un des derniers opérateurs mobiles notamment Virgin Mobile, n'offrent pas la 4 g LTE. Pour rappel, l'opérateur virtuel propose deux types de paquets, un forfait personnalisable à partir de 5 euros par mois et un forfait de 20 euros par mois très similaires aux emballages qui se trouvent à free Mobile, SFR, Ageumaa435 rouge ou même B & ti. Joe Mobile permet de multi-comptes et anti-depassements options, pour un meilleur contrôle de son colis.



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La version mini de Samsung SM-G870 de Galaxy S5 ?

Alors que le Galaxy S5 vient d'être présenté, de la toile bouge autour d'une référence particulière : Samsung SM-G870. L'objet a été repéré sur une base de données d'importation et d'exportation en Inde. Certains pensent que ce smartphone est ni plus ni moins la version minie de S5.


Galaxy S5


Rien n'est pas une indication que nous parlons une version de la mini, sauf peut-être l'histoire de la marque. N'oubliez pas, après la sortie du Galaxy S4 (GT-I9505), le mini S4 portait la série GT-I9195 de nom. Plus tard dans la famille Samsung, puis est devenu connu sous le nom SM-G900, soudain, sa proximité avec la référence de la Ms-G870 donne à penser à certains que la vue d'ensemble du mystérieux smartphone sur une liste d'import export est la version minie de S5.


Logiquement, plutôt que la S5 utilise la référence au lieu de 910870, qui est pourquoi nous rappelons que rien, mais absolument rien n'est encore officiel. Nous ne savons pas quoi que ce soit, qu'autre que celle du G870 SM est un smartphone qui a été livré au début de mars 2014 pour la r & d. Nous pouvons aller Découvrez-le sur la référence l G870 Shinigami, exporter des données d'importation base en Inde.


Toutefois, notez que c'est la coutume de la Corée du Sud offre à vendre d'autres versions de son produit phare, peu après le dévoilement du modèle principal, bien que l'étanchéité de la S5 Galaxy questionnant la sortie d'une déclinaison possible. Dans le cas d'un mini Galaxy S5, tout est encore possible.N'oubliez pas, mini S4 est sorti en Europe en juillet 2013, trois mois après son frère aîné, le Galaxy S4.Selon d'autres sources, un mini S5 est prévu pour le mois de juin et paye un Super AMOLED Android 4.4 et KitKat. Le rapport de prix entre le S5 et standard SM-G870 reste compatible avec les tarifs pratiqués jusqu'à présent par Samsung.

potierleo

Sous la direction du réalisateur Ulrich Rozier. Frandroid et Frawin stagiaire, passionné, prend en charge les nouvelles technologies... Linux convertir et a mis en garde en 2004. Monde auto, quand tu nous tiens ! La question des données personnelles et privées déclenche généralement une réaction cutanée en moi, surtout quand ils font l'objet d'une commercialisation.


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samedi 8 mars 2014

Lancement du MX3 le 31 mars : Meizu veut être une « alternative » en France

Meizu avait laissé entendre en diverses occasions, depuis le CES de Las Vegas en janvier, son intention de débarquer sur le Vieux Continent ainsi qu’aux USA. C’est désormais chose faite, à commencer par la France.


Meizu MX3


Meizu – prononcez [mizu] – l’avait promis, et c’est désormais entériné. La marque, présente évidemment en Chine, son berceau natal, mais aussi en Israël et en Russie, fait son entrée en cette fin de premier trimestre en France, précisément le 31 mars, tandis que dans sa ligne de mire figure un lancement aux États-Unis au cours du troisième trimestre 2014. Ailleurs en Europe, au Canada et sur les autres marchés, nul mot n’a encore été soufflé, bien que pour le cas du Vieux Continent, une chose soit sûre pour le moment : la France fait office de marché test. « Nous voudrions faire une démonstration en Europe« , assure ainsi le responsable France de Meizu, selon qui la vivacité du marché hexagonal fait figure de catalyseur auprès des pays voisins.


Si l’on parle souvent de Xiaomi comme d’un Apple à la chinoise, Meizu, à une échelle légèrement moindre (il revendique 6 % du marché chinois) n’est pas en reste. De fait, elle tente, à l’instar des géants du secteur, de tirer sur la corde du social, de la communauté. Elle aime à rappeler que lors de son lancement à Hong-Kong en 2006, 600 personnes faisaient la queue devant sa boutique pour s’offrir son flagship du moment, le MX2. Pour son lancement en France, Meizu évoque une recette semblable, à base de réseaux sociaux, « d’ambassadeurs » régionaux sélectionnés par ces mêmes canaux, et de petites opérations marketing en magasins.


Dans les faits, Meizu n’est pas ce que l’on pourrait appeler un géant des télécommunications, du moins en matière de masse salariale. À l’instar de Xiaomi, qui dispose de 2400 employés, la marque emploie 2200 personnes, dont 1000 sont affectées à la R&D. Il n’en faut pas moins, Meizu développant ses propres services associés à sa version d’Android, FlyMe OS. Sa dernière version 3.0, présente sur le modèle MX3, s’appuie sur Android 4.2 Jelly Bean. Et au total, Meizu a écoulé, depuis sa création en 2003, 20 millions de smartphones.


Meizu


Malgré son « grand âge », relativement à sa sortie initiale en Chine – il date de novembre 2013 – le MX3 sortira à un prix relativement onéreux. Disponible chez la plupart des revendeurs en ligne (Cdiscount, RueduCommerce, TopAchat…), boutiques d’électroménager (Darty, Boulanger), et même chez le Full MVNO Virgin Mobile, le smartphone sera disponible à des tarifs haut de gamme : 449 euros pour sa version 16 Go, 499 euros pour du 32 Go et 549 euros pour un MX3 64 Go. Boulanger, visiblement pressé, avait déjà mis en ligne les précommandes en début de semaine.


Un tarif onéreux comparé aux autres marques chinoises telles que Huawei ou ZTE, d’autant plus que le MX3, si réussi soit-il, souffre d’un point désormais crucial : il n’est pas compatible avec la 4G. Argument récurrent chez ceux qui s’en passent, Meizu indique préférer miser sur une expérience utilisateur complète, faite de services globaux et d’une interface épurée peuplée de fonctionnalités avancées (un mode invité, par exemple). Pour le reste, l’appareil n’est pas inintéressant : avec son design très iPhone, il dispose d’un écran de 5,1 pouces AMOLED agréable, avec une définition de 1800 x 1080 pixels, et dispose d’un processeur Samsung Exynos 5 Octa, de 2 Go de RAM, d’un capteur photo Sony de 8 mégapixels, du NFC et d’une batterie de 2400 mAh. Meizu indique en outre avoir travaillé sur diverses optimisations, notamment sur un écran et un WiFi peu gourmands en énergie. Avec son format bombé, il semble d’ailleurs plus fin qu’il ne l’est vraiment : il mesure en réalité 139 x 71,9 x 9,1 mm. Dans l’ensemble, des caractéristiques de bonne facture, Meizu mettant en avant l’identité des fournisseurs de ses composants comme gage de qualité. Suffisants pour convaincre les mobinautes français ? Le Chinois affirme chercher avant tout à fédérer une communauté, « même si on ne vend que 2000 ou 3000 MX3« .


MX3


Impossible pour Meizu – qui n’a pas évoqué un MX4, comme la rumeur le prétendait ces derniers jours – de faire l’impasse complète sur la 4G. Puisque le marché français fait figure de pilier en Europe depuis le mouvement initié par la création de Free Mobile, et que la 4G est désormais un enjeu majeur de son paysage mobile, autant dire que si Meizu souhaite s’installer comme une « alternative aux grandes marques« , et haut de gamme qui plus est, il lui faudra passer au haut débit mobile. Et la marque l’avoue : « Nos prochains modèles seront aussi chers, voire plus (…). Nous aurons un produit 4G, il est déjà dans les placards« . L’ouverture d’une boutique physique est même à l’étude, bien qu’il ne faille pas s’attendre à une inauguration avant l’année 2015.


De grandes ambitions à l’heure où plusieurs marques chinoises fourbissent leurs armes pour mieux se lancer en Europe. On pense notamment à Xiaomi, dont un premier Red Rice vient d’être commercialisé à Singapour avant un lancement international, tandis que Nubia nous a indiqué, au CES 2014, son intention de se lancer en France au printemps prochain.

Laure Renouard

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Emotient Sentiment Analysis : une Google app verre pour détecter les émotions d'autrui

Une société américaine appelée Emotient développe une application qui permettra à l'utilisateur de Google Glass pour obtenir des informations sur les émotions de son interlocuteur.


Emotient


Ici, le côté sombre de l'avenir est arrivé. La société Emotient, basée à San Diego, a annoncé hier qu'il travaillait sur une application qui est un peu spéciale et depuis la sortie du Verre de Google. L'application permettra de déchiffrer les émotions sur les visages des gens nous a rencontré, ou au moins aider. Une levée de fonds de 6 millions $ a également finalisé, afin de permettre à Emotient, à part une API qui pourrait être intégrée dans des applications tierces. Pour l'instant, l'application Emotiont reste sur le côté en bêta privée.


Pour son PDG, Emotient est très complet et pour mesurer tous les sentiments qui sont positifs, négatifs ou neutres. Émotions primaires sont également mesurables: la joie, surprise, tristesse, dégoût, peur... mais aussi des émotions complexes telles que la frustration ou confusion. Informations sur ces sentiments apparaîtraient plus tard dans le domaine des utilisateurs.


En ce qui concerne l'exploitation des données, Emotient cadres expliquent que les données collectées ne seront pas retenues, et que l'analyse sera anonymement. Une explication un peu rassurante, bien sûr, mais contrairement à récentes déclarations de Google, tout ajout de reconnaissance faciale sans sécurité garantie.


La « longue vie à la haute technologie » San Francisco un plomb dans l'aile. Et je ne suis pas sûr que cette demande a ce que rassurer certains outrés de la Californie. Le JDD a rapporté mécontentement par début février dans certains quartiers, dont les habitants se plaignent à Google politique élitiste. Confidentialité des données est également un thème en vogue aux Etats-Unis et depuis non seulement écouter les révélations au sujet de la NSA.


Nous avons signalé cette semaine l'histoire de Sarah Slocum, une femme de San Francisco à agressé dans un bar de la ville, probablement à cause de son Google Glass. Si les faits sont difficiles à établir car il est dit qu'ils ont dû faire face à des ennemis de Google en verre ainsi que les clients du bar fustigeaint attitude, est encore moins d'un climat doux, s'installe à San Francisco. Climat qui a poussé pour Google de publier une Charte de bonne conduite pour l'Explorer de Google. Mais si une demande maintenant vous permet d'analyser les gens, ne misez pas sur une amélioration dans les relations entre le géant américain et les habitants de la ville.

Asus : des Transformer Pad TF103 et TF303 en préparation ?

Trois années après la première Transformer TF101, Asus poursuit la conception de terminaux hybrides. À en croire les rumeurs, il se pourrait bien que le célèbre concepteur taïwanais officialise les Transformer Pad « TF103 » et « TF303 ».


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Comme leur nom l’indique, le but des Asus Transformer est de proposer une solution totalement hybride qui est aussi bien capable de se transformer en tablette qu’en petit ordinateur d’appoint. Il est vrai que la toute première génération ressemblait beaucoup à un produit expérimental dans sa version d’Android, mais Asus a su se rattraper depuis grâce à des mises à jour. Aujourd’hui, la Transformer Eee Pad (TF101) a vieilli avec sa base 10,1 pouces en HD et son double-cœur Tegra 2. Il faut cependant avouer que la conception métallique était déjà très bonne à l’époque. Le produit reste relativement bien conservé après trois ans d’utilisation.


Selon plusieurs informations relayées par NotebookItalia, ASUS serait en train de finaliser de nouvelles tablettes hybrides. Baptisées Asus Transformer Pad TF103 et Transformer Pad Infinity TF303, les deux tablettes abriteraient un écran d’une grandeur de 10,1 pouces et pourraient toutes les deux être équipées de la dernière version d’Android 4.4.2 KitKat. Une très bonne nouvelle qui ne fera que du bien à la répartition des versions d’Android. Du côté de l’interface maison, il ne faudra certainement pas s’attendre à de grosses modifications puisque le constructeur a pour habitude de laisser une version d’Android stock sur la majorité de l’interface en apportant les fonctionnalités liées au SoC installé. Dans le cas présent, nous pourrions être devant un Intel BayTrail (dont le modèle est inconnu).


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Une interface légère, rapide et peut-être « flat » à l’instar des ZenPhone. En attendant, il ne faut pas oublier que le domaine de prédilection d’Asus est la conception matérielle. D’un autre côté, ce n’est pas plus mal et cela permet à l’utilisateur de profiter d’une expérience presque pure d’Android quelque part. Une information qui pourrait s’avancer comme une très bonne nouvelle, sachant que KitKat et Intel font très bons ménages. Aux dernières nouvelles, Android 4.4 serait plutôt bien optimisé dessus.


Récapitulons, l’ASUS Transformer Pad Infinity TF303 devrait être une tablette hybride de 10,1 pouces en définition Full HD (1920 x 1080 pixels), accompagnée d’un processeur Intel BayTrail (dont la référence est inconnue) et d’une batterie longue durée. Concernant la Transformer Pad TF103, il s’agirait d’une version moins coûteuse. Pas seulement sur les caractéristiques internes, les matériaux de conception utilisés seraient également moins « premium ». Une TF303 en métal et une TF103 en plastique ? En plus de cela, les deux tablettes pourraient proposer des haut-parleurs stéréo en façade et un saisie au clavier encore plus agréable que les précédentes versions qui étaient déjà plutôt bonnes. À notre regret, les rumeurs n’évoquent pas les prix ou les dates de sorties de ces deux nouvelles tablettes. Cependant, il est aussi dit que la TF303 pourrait venir succéder à la TF300.

Le Motorola RAZR que je vais avoir sa part de KitKat (Android 4.4.2)

Cela est confirmé, le Motorola RAZR sera juste un KitKat !


Android 4.4.2 KitKat Motorola RAZR i image 01


En 2013, Motorola a été doubles piqûres de mises à jour de ses téléphones Android de plus aux États-Unis. Tandis que connaît déjà son vélo G et Moto X la dernière version d'Android 4.4.2 savait aussi que l'américain se préparait le KitKat pour son HD Motorola RAZR. Récemment, le fabricant a également confirmé, par le biais de son portail de téléchargement des mises à jour, le RAZR me plairait même KitKat !


A ce jour, malheureusement, nous connaissons la date de distribution de ce dernier, mais on imagine qui aura lieu dans la première moitié de l'année 2014. Pour l'instant, le Motorola RAZR exécutant Android version 4.1.2 Jelly Bean et ne reçu pas un logiciel de mise à jour important. Rappel, ce Motorola RAZR, j'ai été un des premiers sinon le premier smartphone Android d'expédier un processeur Intel, l'Atom de Z2460 pour être exact. Pour (re) découvrir ce smartphone, accédez à notre examen du Motorola RAZR.


 

LG mise sur son L90, son smartphone lorgnant sur le milieu de gamme

AppId is over the quota AppId is over the quota

Durant le Mobile World Congress, LG avait pris soin de présenter ses terminaux de la gamme L Series III. Cette dernière était composée de trois smartphones : les LG L40, L70 et L90. On en sait un peu plus maintenant sur le L90, LG a donné de plus amples informations sur ce terminal de milieu de gamme.


LG-L90-Smartphones-mid-gamme-MWC


Le L90 est donc le dernier de la série III. Et le plus gros, aussi : écran IPS de 4,7 pouces (définition 960 x 540 pixels, 235 ppi). Le L90 sera équipé d’un processeur Qualcomm quadruple-cœur cadencé à 1,2 GHz (MSM8226) travaillant avec 1 Go de RAM et 8 Go de mémoire en stockage (un port de carte SD permettra d’étendre la mémoire à 32 Go). Le capteur arrière variera en qualité selon les pays dans lesquels le L90 sera commercialisé : 8 mégapixels ou 5 mégapixels en autofocus. Le capteur frontal ne changera pas : 1,3 mégapixels. Le smartphone sera animé par une batterie de 2 450 mAh (non amovible, par contre) et par Android 4.4 KitKat : ce dernier détail est un bon point. Le smartphone aura droit à quelques fonctionnalités fournies par LG dont la fonction Knock Code : elle permet le déverrouillage du téléphone en tapotant sur des zones spécifiques de l’écran. L’appareil mesure au total 131,5 x 66 x 9,7 mm.


Nous avons donc là un bon smartphone de milieu de gamme, un terminal qui semble plutôt honnête. On pourra toujours remarquer que le L90 n’est pas compatible LTE, c’est effectivement dommage. Le smartphone sera vendu dans le monde entier et commencera sa commercialisation en Europe de l’Est. Pour le cas de la France, il faudra patienter jusqu’au mois d’avril pour le découvrir dans le commerce au prix de 179 euros.


http://nouveau-smartphone.blogspot.com/p/blog-page_19.html

vendredi 7 mars 2014

Un Snapdragon 800 dans le OnePlus One : la stratégie de l’information au compte-gouttes

Le OnePlus One ne sera disponible qu’au deuxième trimestre 2014, mais qu’importe à la firme en charge du premier Cyanogen Phone : il s’agit de faire monter la sauce pendant encore quelques semaines. On en sait désormais un peu plus concernant le smartphone, notamment au niveau de son processeur.


OnePlus


C’est désormais acté, OnePlus compte révéler tous les trois ou quatre jour une des caractéristiques de son appareil. La firme, qui conçoit actuellement le premier Cyanogen Phone, compte faire sensation lorsqu’elle sortira son appareil, puisqu’elle a eu tôt fait d’indiquer qu’il serait équipé des meilleurs composants de l’année. Et pour ce qui concerne le processeur, une première information vient d’être révélée : il s’agit officiellement d’un Snapdragon 800 quadricœur à 2,3 GHz, la puce de Qualcomm plutôt intégrée aux terminaux très haut de gamme de la fin 2013, quand les appareils les plus récemment annoncés ont opté pour du Snaodragon 801. On peut toutefois aisément expliquer ce choix : loin d’être prioritaire dans la chaîne de production, OnePlus s’épargne ainsi d’éventuels retards de livraison. Et OnePlus de déclarer : « Y a-t-il des CPU plus récents sur le marché ? Oui, et la majorité d’entre eux nous aurait donné un léger avantage marketing sans nous apporter un changement notable en termes de performances. (…) Nous sommes absolument sûrs que c’est le meilleur choix pour livrer un produit avec la meilleure expérience utilisateur globale et les meilleures performances au deuxième trimestre. » Et c’est Pete Lau, l’ancien vice-président d’Oppo, qui l’assure.


Cette première donnée matérielle peut au moins nous assurer d’une chose : le OnePlus One sera compatible avec la 4G de catégorie 4 à 150 Mbps, mais aussi potentiellement capable d’enregistrer des vidéos en 4K et de disposer d’un écran Full HD 1080p. Certitude pour le moment, l’appareil coûtera moins de 400 dollars, comme la marque l’a déjà garanti sur ses réseaux sociaux, à son lancement au deuxième trimestre. Son One sera commercialisé dans dix pays à son lancement ; parmi eux, seuls les États-Unis sont pour le moment confirmés. Pour plus de détails, il nous faudra patienter jusqu’au 9 mars prochain, date de la prochaine annonce-teasing de OnePlus.


Une commande vocale de type « Ok Google Now » portée sur le Nexus 5

Grâce à un développeur particulièrement doué, on pourrait voir apparaître une commande vocale pour le Nexus 5 semblable à celle du Motorola Moto X.


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« Quand le Nexus 5 est sorti, beaucoup de monde s’est demandé si une application vocale de déverouillage semblable au Ok Google Now du Motorola Moto X serait possible. Les gens se demandaient si le processeur MSM8974 du Nexus supporterait ce processus. Eh bien, voici votre réponse ». 


Guillaume Lesniak est un célèbre développeur, qui a notamment travaillé sur l’application Focal pour CyanogenMod, et qui est maintenant investi dans le projet OmniROM. Mais visiblement, il garde un peu de temps libre pour livrer ses propres expérimentations. Dans une courte vidéo postée sur Youtube, l’homme montre la commande vocale qu’il a développé pour son Nexus 5. En disant « Ok Snapdragon« , le mobile se déverrouille. Exactement comme le fait le Moto X en lui disant « Ok Google Now« .


On ne verra par contre pas cette application venir sur nos Nexus avant un moment. Guillaume Lesniak explique que Ok Snapdragon « est loin d’être stable et proposable dans l’état actuel (pour diverses raisons). Il s’agit seulement d’un concept prouvant que c’est possible ». La démonstration en question tourne sur un build particulièrement modifié d’OmniROM, bien loin d’une version destinée au grand public. Elle tire profit d’une des possibilités offertes par le SoC Snapdragon 800, qui peut se reproduire le comportement de la puce 8X de Motorola, elle-même dédiée à l’écoute continuelle de la commande vocale. Reste à voir si une telle fonction, appliquée au S800, ne serait pas trop gourmande en énergie.


Motorola Migrate 1.3 et Fonction vocale 4.3 arrivent sur le Google Play : quand votre smartphone vous lit vos notifications

Pour faire la paire avec les mises à jour d’Écran actif Motorola et Motorola Assist déployées le 3 mars dernier, l’Américain Motorola Mobility lance maintenant deux autres mises à jour majeures pour ses applications Motorola Migrate et Fonction vocale.


android motorola migrate 1.3 fonction vocale 4.3 mises à jour mars 2014 image logo 01


Alors que Motorola Migrate est disponible sur une foule de terminaux mobiles, ce n’est pas du tout le cas de Fonction Vocale qui se limite uniquement au Motorola Moto X. Pourquoi ? Fonction vocale est une application qui exploite la fonction « Ok Google » grâce au microphone installé en façade de l’appareil, de sorte à ce qu’il puisse entendre les voix à 360 degrés autour de lui. Disponibles sur le Google Play, ces deux applications restent très intéressantes, et c’est d’autant plus plaisant de voir Motorola continuer à les supporter jour après jour en leur apportant toujours plus de fonctionnalités.


Compatible Android et iPhone, l’application de sauvegarde et récupération de données Motorola Migrate s’est offert la version 1.3 qui permet d’importer les contacts SIM et prévenir plus efficacement l’utilisateur lorsque la mémoire de son nouveau téléphone est insuffisante.


android motorola migrate 1.3 image 01


Voici la liste détaillée des changements apportés :

Importation automatique des contacts SIM sur le compte Google de votre choixAmélioration des interactions lorsque la mémoire du nouveau téléphone ne suffit pas pour le contenuCorrection de bugs mineursRemarque : Motorola Migrate 1.3 est requis sur les DEUX téléphones Android (ancien et nouveau) pour utiliser les nouvelles fonctionnalités

La mise à jour de Motorola Migrate est d’ores et déjà disponible sur le Google Play :

Version de l’app : 1.3.0.10Taille de l’app : environ 2,7 MoCompatibilité : Android 2.2 ou version ultérieure

Motorola Migrate
Motorola Mobility LLC.


Avoir un nouveau téléphone signifie souvent perdre le contenu important de son ancien modèle. Désormais, vous pouvez transférer le contenu le plus important sur votre nouveau téléphone, facilement, en mode sans fil. Motorola Migrate effectue des transferts depuis Android (2.2 et version ultérieure) et iPhone (via iCloud) vers Moto X,...


Uniquement disponible sur un Moto X doté d’Android 4.4, Fonction vocale est une application qui permet d’interagir vocalement avec votre téléphone sans toucher l’écran. Bien qu’il ait déjà été possible de configurer un itinéraire, une alarme, d’appeler un contact, de trouver le numéro de téléphone d’un lieu, ou encore de demander la hauteur des plus hauts sommets et/ou monuments du monde, notez désormais que l’application est capable de lire vos notifications (actuellement en bêta en France).

android-test-frandroid-motorola-moto-x-interface-logicielle-okay-google-image-01-1000x561 On sera d’accord sur le fait que « OK Google » qui permet de réveiller le smartphone reste l’atout ultime de Fonction vocale sur le Moto X.


Sans plus attendre, voici les nouveautés (uniquement compatibles avec KitKat) :

Meilleure détection d’arrêt de la parole pour plus de précision et de réactivitéNouvelle commande « Du nouveau à signaler ? » – « Lis mes notifications » qui lit vos nouvelles notifications pour que vous restiez informé en continuCette nouvelle commande est disponible en version complète en anglais américain, en espagnol et en italien ; en version bêta pour les autres langues/régionsPlusieurs corrections de bugs ont aussi été apportées

La mise à jour de Fonction vocale est aussi disponible sur le Google Play :

Version de l’app : 4.3.10.1Taille de l’app : environ 46 Mo (installée)Compatibilité : Android 4.4+ (Moto X en France)

Fonction vocale
Motorola Mobility LLC.


Sans toucher du tout votre smartphone, vous pouvez obtenir des indications de direction, régler une alarme ou tout simplement faire ce que vous voulez. Il vous suffit de parler ! Commencez par dire “OK Google Now”. Puis demandez “Est-ce que j'ai besoin d'un parapluie aujourd'hui ?” et vous obtiendrez les...

Navigateur Opera 20,0 : mise en page personnalisable, plus plat et design WebRTC

Editeur de logiciels Opera vous propose le navigateur Opera 20,0, une nouvelle version de son navigateur montrant une conception révisée au goût du jour.


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Il y a quelques heures l'équipe Opera Software a commencé à déployer une nouvelle mise à jour pour le navigateur Opera 20,0. A ce jour, le navigateur Web mobile intègre la plupart des fonctionnalités qui n'existaient pas dans la version bêta. Par conséquent, la conception est un peu plus plate dans certaines régions, la WebRTC qui vous permet d'effectuer des appels directement à partir de l'app et la possibilité de personnaliser la présentation de votre demande (téléphone, classique, tablette).


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Sans plus tarder, Voici les nouvelles fonctions ajoutées au navigateur Opera sur Android : 20,0

Intégration du nouveau chrome version 33integration noyau WebRTC soutien (Nouvelle permission) intégration des vibrations de prise en charge API HTML5 (nouvelles autorisations) pour configurer l'utilisateur interface pour le meilleur niveau de Experienceamelioration ici et là des améliorations de stabilité Telechargementdiverses Manager

La mise à jour du navigateur Opera est disponible gratuitement à 20,0 Play de Google :


Navigateur Opera pour Android
Opera Software ASA


Appréciez le meilleur navigateur mobile pour téléphones mobiles et tablettes Android. Opéra est conçu pour fonctionner avec la dernière génération d'appareils Android. Opera est élégant, rapide et avec une multitude de fonctionnalités déjà préinstallé. Téléchargez-le maintenant et profiter sans délai plus loin ses points forts:-une connexion...


 

S Circle : le prochain tracker d’activité de Samsung ?

Les produits électroniques connectés n’échapperont jamais aux mesures de contrôle de conformité. Et c’est valable dans tous les pays. Un mystérieux objet a été aperçu sur le site Internet de la FCC, l’autorité de certification des télécoms américaine. Un objet connecté par Bluetooth, labellisé Activity Tracker.


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Le produit repéré dans les colonnes de la FCC mais aussi dans celles d’un organisme de certification Bluetooth (visuel ci-dessus) est baptisé S Circle et porte le numéro de série EI-AN900A. On sait que l’objet utilise le Bluetooth (c’est d’ailleurs pour cela que le produit a été testé). Le rapport mentionne même la nature de l’objet, il s’agit d’un trackeur d’activité. Avec une telle appellation, on peut envisager qu’il s’agisse d’un bracelet connecté dans la même veine que le S Band que Samsung avait proposé en accessoire pour le Galaxy S4. L’application phare pour la santé, S Health, doit avoir elle aussi quelque chose à voir avec le S Circle.


Il ne reste plus qu’à savoir si il s’agit d’un objet low-cost. Cela aurait certainement du sens vu que Samsung a déjà envahi son offre d’objets connectés avec les montres Gear 2 et Gear 2 Neo, le bracelet Gear Fit… Pour ce dernier, on murmure un prix de 199 euros. On imagine que dans le cas d’un bracelet plus simple, vraisemblablement sans écran, ou du moins avec un écran moins complexe, Samsung privilégiera un tarif situé sous le palier psychologique de la centaine d’euros.


Sous la direction du Rédacteur en Chef Ulrich Rozier. Stagiaire à Frandroid & Frawin, passionné médias, nouvelles technologies... Linuxien converti et averti depuis 2004. Monde du libre, quand tu nous tiens ! La question des données personnelles et privées déclenche généralement une réaction épidermique chez moi, en particulier quand elles sont sujettes à une commercialisation.


Samsung équipement adapté au 199,99 euros et 11 avril disponible ?

Un commerçant en montres connecté a signalé que cet équipement adapté pour Samsung bracelet devrait être commercialisé dès le 11 avril à un prix de 199 euros. Un pack avec un équipement adéquat et Galaxy S5 devrait arriver sur le marché.


Gear Fit


Samsung est visiblement vers le bas sur le marché son nouveau Bracelet lié : l' équipement approprié. Pour l'instant, la société coréenne n'a pas officialisé la date ou le prix pour cet appareil, mais il est certainement difficile de garder des secrets. Site SamMobile, spécialiste des appareils Samsung marque et très bien informé, a dit dernièrement que le Gear 2 pourrait être proposé à 299 euros, alors que le Nouvel équipement et Engins Fit bracelet vend pour 199 euros.


Bingo. Le blog est spécialisé dans les montres, Lamontrebleue, a également signalé que le prix de lié gear Fit bracelet ne passera pas la barre des 200 euros. Prenant cela de source sûre, les articles explique également que l'objet sera disponible le 11 avrilet à tous les points de vente. Promotional offre s'appliquera pour un achat simultané Galaxy S5. Une stratégie commerciale qui n'est pas surprenante, car nous savons que le prénom d'engins Samsung Galaxy n'était pas particulièrement bien vendu et qu'il avait bénéficié les poutres avec le Galaxy Note 3. Tout le monde voyait arriver les premiers packs de S5/Gear Fit, S5/2 Gear, et Gear S5/Neo?


Je ne sais pas. Le Neo Gear devrait également laisser le 11 avril, mais aucune information n'est filtrée à travers un achat simultané avec une galaxie de S5. Concernant le Gear 2, Lamontrebleue rapportepourrait arriver plus tard sur le marché Français et se limiter à un seul opérateur.


Samsung, le roi du trafic de données sur Android aux Etats-Unis

Une récente étude en provenance des Etats-Unis fait état de la domination sans partage de Samsung sur le trafic de données via Android, du moins sur le continent Nord-Américain. 


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Des Coréens qui occupent le territoire américain. Soit c’est un très mauvais film de 2012, soit il s’agit d’autre chose. En l’occurrence, il s’agit ici de trafic de données, et c’est bien le Coréen Samsung qui règne sans partage sur l’Amérique du Nord.


La société publicitaire Chitika Insights, qui sévit au États-Unis, publie chaque année une étude sur le trafic Internet mobile. Et dans la partie concernant les usages Android, elle note que Samsung domine cet écosystème aux États-Unis et également au Canada avec plus de 55,5 % des usages en provenance de ces appareils. Derrière Samsung, on trouve LG et Amazon à 8,2 %, puis Motorola (7 %), HTC (6,2 %) et Google (4,6%)


Déjà impressionnante en juillet 2013 (environ 47 %), la part de Samsung a augmenté de 8 % en l’espace de 8 mois. Sur cette période, ses principaux concurrents dans ce domaine ne parviennent pas à se maintenir : Amazon (-0,6 %), Motorola (-2,5 %) et HTC (-3,5 %).


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Pour l’explication, le trafic data est étroitement lié au nombre de ventes d’appareils pour chaque fabricant. Et Samsung continue de vendre à tours de bras. Selon les dernières statistiques portant sur le quatrième trimestre 2013, la société coréenne a vendu 86 millions d’appareils sur la fin d’année, et a consolidé son avance sur Apple qui avait pourtant réalisé lui aussi son record de ventes (51 millions sur le dernier trimestre).


Test du LG G Flex, le premier smartphone incurvé

Le G Flex, en soi, est un beau produit : c'est un concept que l'on n'attendait pas véritablement sur le marché, une idée de designer secondée par une équipe de recherche dont le résultat tient la route. Mais il reste avant tout un produit d'image, un signe de capacités technologiques, un coup de pied dans les tibias de Samsung (et son Galaxy Round), voire, à tout prendre, un accessoire de mode. Après tout, on ne se démarque plus en utilisant un Nexus initialement destiné aux développeurs ni un iPhone visant une cible techno-aisée... le "think different" est bien là, mais à quel prix ? Celui d'un G Flex puissant, montrant une bonne autonomie, mais dont le principal atout, son écran courbé, n'est pas encore à la hauteur. L'intérêt que représente l'amélioration sonore obtenue par un forma incurvé est peu perceptible... et ne suffira pas à faire oublier le tarif de l'engin qui, rappelons-le, ne dispose pas d'un port pour carte mémoire. 799 euros pour un terminal 32 Go (voire un peu moins chez certains revendeurs en ligne), c'est beaucoup, et assez pour attendre un terminal aux qualités homogènes, des performances brutes à la qualité d'affichage. On en est encore loin chez cet appareil qui a osé se lancer le premier sur le marché, quitte à ne pas s'être suffisamment échauffé, et à donner envie d'attendre un deuxième round.


Ah, les écrans flexibles. Ou courbés, dites-vous ? On en perdrait presque son latin, devant le flou artistique qui entoure cette technologie. Regardons les choses en face : si des exemples ou prototypes existent, les écrans flexibles, ce n’est pas exactement pour tout de suite, le reste du hardware des appareils qui en seraient équipés n’étant pas encore prêt à suivre, du moins pas à une échelle commerciale.


Et c’est peut-être l’enjeu principal du LG G Flex qui nous occupe ici, à savoir transformer un objet de curiosité, une tentative, un essai technique… en un appareil destiné à la vente. Et qu’on se le dise, il a beau s’appeler Flex, il n’est pas flexible, ou du moins pas pliable ni capable d’assumer des torsions.


G Flex


Le G Flex que nous connaissons n’est pas seul en sa patrie. Lui qui est affublé d’un écran courbé de haut en bas trouve son pendant en le Samsung Galaxy Round, quant à lui équipé d’un écran incurvé de gauche à droite. La rivalité des deux appareils a d’ailleurs su occuper les curieux à la fin de l’année 2013, Samsung et LG s’étant livrés une véritable guerre des nerfs, remportée dans sa première manche par Samsung (premier à dégainer son smartphone), mais dans sa seconde par LG (premier à le commercialiser à l’international). Au bénéfice du mobinaute ? Pas si sûr.


LG G Flex


LG G Flex


Le G Flex, membre de feue la gamme Optimus de LG, se situe dans le haut du panier de la firme coréenne. Il est donc livré dans un coffret digne de ses prédécesseurs, et dont le format courbé mime la forme du smartphone. Le G Flex est accompagné par un câble USB/micro-USB, un kit d’oreillettes intra-auriculaires, sans oublier un chargeur secteur et un guide de démarrage. Une petite pointe en forme de G viendra vous aider à placer votre carte SIM dans l’appareil.


Au-delà de son aspect « incurvé », le LG G Flex dispose d’une fiche technique à la hauteur des principaux smartphones du moment, notamment grâce à son processeur Snapdragon 800 et ses 2 Go de RAM. Il pèche par contre par un écran non plus Full HD 1080, mais HD 720p (1280 x 720 pixels) sur une diagonale de 6 pouces, ce qui le propulse d’office dans la catégorie phablettes. On notera au passage qu’il ne s’agit pas de n’importe quel écran, mais d’un OLED (POLED pour Plastic OLED), ce qui se fait peu encore chez les smartphones. Remarquez également une mémoire interne de 32 Go sans extension de mémoire possible, et une grosse batterie de 3500 mAh.

Incurvation concave autour d'un axe horizontalProcesseur (CPU)
Cadence
Nombre de cœursQualcomm Snapdragon 800
2,26 GHz
4Enregistrement vidéo capteur frontalDLNA / Hostpot WiFi
Hotspot BluetoothNFC (Near Field Communication)Capteur de proximité et lumière

Étrange énergumène que ce G Flex. Il est grand, comme le sont toutes les phablettes, puisqu’il est doté d’un écran de 6 pouces (définition HD) concave (incurvé vers l’intérieur). Il est léger malgré ses dimensions imposantes, et surtout, surprenant : n’espérez pas passer inaperçu avec ce type d’engin greffé à la main. Comment doit-on le prendre ? Comme une espèce d’accessoire de mode à la sauce 2014, réservés à quelques fous de design qui n’attachent qu’une attention toute relative à la notion de praticité ? Comme un trophée technique à exposer à des proches médusés, que dis-je, abasourdis ?


Trêve de plaisanterie, à l’heure actuelle, le  G Flex est une espèce d’ovni design, mais pas dépourvu d’atouts. Son bouton dorsal, comme sur le G2, est bien adapté à ce grand format, puisqu’il tombe bien sous l’index de qui souhaite le déverrouiller – et la fonction KnockOn (double clic sur l’écran en veille) le seconde efficacement. Les tranches sont fines, la puissance sonore correcte, et l’on regrette que cette coque inamovible ne nous laisse pas ajouter à la mémoire du terminal une carte micro-SD supplémentaire.

LG G Flex Le port micro-SIM

LG G Flex Le port microUSB

LG G Flex Rien sur la tranche droite !


Un mot sur sa coque supposée se « réparer » toute seule en cas de micro rayures : elle offre un toucher légèrement gomme à l’appareil, et ne le soigne pas si bien que l’on s’y attendrait. Vous vous débarrasserez certainement des micro-rayures, mais pas beaucoup plus. Cette surface brillante marque par ailleurs moins les traces de doigts que l’arrière d’un G2 en plastique brillant, mais tout de même, vous n’y couperez pas.

G Flex Il est possible d’appuyer légèrement sur le smartphone, qui supportera la pression.

LG G Flex Le bouton dorsal du G2 est toujours présent sur le G Flex.


LG indique que son smartphone permet d’obtenir un meilleur rendu sonore en appel du fait que l’appareil suit la courbe du visage. Certes, certes. Mais tout de même, avec un appareil de cette taille, à moins d’être franchement macrocéphale, le microphone sera bien loin de votre bouche… et la différence n’est pas vraiment perceptible lorsque vous passez vos coups de fil du quotidien. Par contre, on apprécie d’utiliser un téléphone qui épouse à peu près la forme de la joue.


Ah, l’écran du G Flex. Il est certes incurvé – performance technique à reconnaître – et assez lumineux, mais dans l’ensemble, il est loin de satisfaire l’œil. Bien que nous ayons eu affaire à une version commerciale de l’appareil, il faut bien convenir que la qualité n’est pas exceptionnelle. On perçoit un aspect granuleux assez dérangeant (une sorte de postérisation), sans parler d’un certain manque de luminosité que l’on perçoit tout particulièrement lorsque l’on place ce G Flex à côté de son compère plat, le G2. Dommage, car la fidélité aux couleurs est là, mais l’ensemble n’est pas tout à fait à la hauteur de nos attentes.


C’est sans compter sur des effets de rémanence qui ne sont pas sans rappeler les premiers écrans plasma, et qui ont pu être observés sur certains modèles de G Flex… dont le nôtre. Par exemple, lorsque vous tirez la barre de notifications, pendant quelques secondes, vous voyez sur le fond gris la forme des icônes affichées sur le panneau d’accueil du terminal.

LG G Flex Regardez bien la zone rose, truffée de petits points au lieu d’afficher une couleur unie.


Dans l’ensemble, on a quelques doutes sur la fiabilité de cet écran qui, en plastique, a le mérite d’être moins fragile que les dalles en verre de ses concurrents, notamment en cas de chute. Autre avantage : puisqu’il est incurvé, lorsqu’il est posé à plat côté écran, sur une table par exemple, il ne sera pas exposé aux rayures. Et l’argument principal de ce format incurvé, son caractère immersif ? Vous me voyez aussi dubitative que possible devant ce sujet, même s’il faut concéder à LG que cet écran 16/9 est agréable en termes de format. De là à se sentir particulièrement happé par vidéos et jeux, il y a un pas que je n’ai vraisemblablement pas su franchir.


En ce qui concerne les couleurs, voici un aperçu, auprès d’un G2 dont la dalle IPS (Full HD 1080p, 5,2 pouces) livre d’excellents résultats :


LG G Flex


LG G Flex


LG G Flex


LG G Flex


LG G Flex


Qu’observe-t-on ici ? D’abord, au crédit du G Flex, d’excellents angles de vision, et des couleurs très vives dues à l’OLED (ou POLED pour Plastic OLED). Mais le blanc a tendance à tirer vers le gris bleu, quand les AMOLED ont pratiquement réussi à résoudre cette difficulté. Dommage.


Un G2 en plus grand, voilà ce qu’est le G Flex, et toujours sous Android 4.2.2. Avec des icône franchement pas réussies, ou devrais-je dire malgré elles, le G Flex ressemble peu ou prou à son prédécesseur. On y retrouve donc une barre de notifications chargée, où des toggles surplombent les QSlide Apps (applications flottantes prédéfinies), une barre de réglage de la luminosité, une autre dédiée au volume sonore… et enfin vos notifications. Heureusement, l’écran est grand, sinon vous ne les verriez même pas au premier coup d’œil !


Globalement semblable au G2, le G Flex en reprend certaines fonctionnalités, dont un multitâche un peu plus abouti que les applications flottantes QSlide Apps. De fait, il s’agit, via un appui long sur la touche de retour, d’utiliser deux applications simultanément sur l’écran : une liste de treize applications est compatible, incluant les Google Apps, un bloc notes, un lecteur vidéo, un gestionnaire de fichiers et un dictionnaire, sans oublier un raccourci vers les applications récentes. Une bonne idée puisqu’il est possible de régler la taille de chaque fenêtre en déplaçant la barre centrale qui les sépare, et ce en mode portrait comme en mode paysage.


G Flex


Autre fonctionnalité propre au G Flex, Quick Theater. Grosso modo, sur l’écran de veille, il vous suffit d’ouvrir un rideau imaginaire en écartant vos deux pouces depuis le centre de l’écran (en mode paysage) pour faire apparaître un trio de raccourcis directs : vers l’application Photo, Vidéos et YouTube. Une manière de mettre en avant l’aspect multimédia de l’appareil, même si tout cela reste bien gadget (et accessible via l’application Quick Theater disponible dans le menu.


Quick Theater


Plus utile mais déjà connue, la fonction KnockON est toujours de la partie sur le G Flex. D’un double tap sur l’écran éteint, vous pourrez ainsi le réveiller pour consulter vos notifications. Le bouton dorsal caractéristique du G2 est toujours de la partie, et s’illumine en bleu (au lieu d’être cerclé de lumière blanche) lorsque vous avez reçu une notification, histoire que vous soyez au courant même si vous avez posé votre smartphone face contre une table.

LG G Flex Vous aimez le bleu ?


Pour le reste, le G Flex dispose des différentes applications présentes sur le G2 avec, en bonus, QuickRemote pour se servir de l’appareil comme d’une télécommande. Un outil Memo, le service de sauvegarde LG Backup, une radio FM, Quick Translator pour la traduction ou encore un service de recommandations d’applications. Hormis une barre de notifications un peu fouillis, LG évite de multiplier les applications, et l’ajout d’un véritable multitâche tire parti du grand écran du G Flex. Une bonne combinaison, en somme.


Interface


Est-il utile de préciser que le G Flex est irréprochable côté performances ? Si son écran laisse à désirer, c’est bien un lion qui se trouve dans le moteur de ce smartphone. La Full HD a tendance à tirer sur les ressources des terminaux haut de gamme, mais puisque le terminal s’épargne cette caractéristique au profit de HD 720p, on obtient des performances sans lag. Nous l’avons mis à l’épreuve avec divers jeux, même gourmands, et honnêtement, aucun ralentissement n’a été à noter. Pas de chauffe particulière non plus, bref une très bonne surprise corroborée par des benchmarks parmi les meilleurs du moment. Plus de 36000 sur AnTuTu, des performances graphiques au top : le G Flex n’est peut-être pas parfait en matière d’affichage, mais le reste tient la route.


LG G Flex


Avec une batterie de 3500 mAh, le G Flex ne dispose pas, sur le papier, d’une batterie réellement plus impressionnante que celle du LG G2, laquelle propose déjà une capacité de 3000 mAh. De fait, le Flex compte tout de même un écran plus grand de 0,8 pouce, avec des caractéristiques internes similaires… À ce détail près que son écran P-OLED n’est pas Full HD mais HD 720p, ce qui se ressent nécessairement au niveau de l’autonomie globale du terminal. Et là, banco ! Le G Flex est certainement la phablette la plus impressionnante en la matière que nous ayons eue en main ces derniers temps.


Un simple chiffre : pour 40 minutes de visionnage YouTube en streaming WiFi avec réseaux mobiles activés, luminosité et volume à fond, en partant de 100 % de batterie, nous sommes arrivés à 97 % de batterie. Et en l’utilisant de manière modérée, mais avec soit la 4G, soit le WiFi activé, nous étions 36h plus tard à plus de 50 % de batterie. Sans trop nous avancer, nous pouvons considérer que le G Flex tiendra la route pendant deux jours sans difficultés, même pour les plus gros utilisateurs de smartphones.


Le G Flex ressemble très largement à un G2, avec des performances photo du même ordre. Dommage à l’heure de l’officialisation du G Pro 2, il ne bénéficie pas du nouveau système de stabilisation optique OIS+, lequel aurait apporté sa petite pierre à un édifice déjà satisfaisant.


Côté interface, on retrouve le les différents modes propres à LG, dont le fameux « Ton dynamique » correspondant au HDR, mais aussi de la rafale, un mode panoramique, le double-appareil photo (façade et dos en simultané), Sport et Nuit. Comme bien souvent, pour obtenir des photos en pleine définition, c’est-à-dire en 13 mégapixels, il faudra accepter le format 4:3, et se contenter d’un maximum de 10 millions de points pour un format 16:9.

LG G Flex En extérieur, le ciel est clairement brûlé (mode normal).

LG G Flex En mode HDR, le ciel retrouve sa couleur bleutée (format 16:9).

LG G Flex En extérieur, mode normal.

LG G Flex En intérieur et avec une luminosité médiocre, un peu de lissage comme toujours, mais des résultats globalement honorables.


En vidéo, les résultats sont plus que satisfaisants, si l’on regarde les vidéos en question ailleurs que sur l’écran du G Flex… D’autant plus que la 4K est de la partie. Le flou artistique entourait initialement le smartphone, qui ne met absolument pas l’accent sur cette fonctionnalité, pourtant bien présente au sein du menu du smartphone. Un regret : pourquoi de la 4K aux fichiers encombrants quand la mémoire de l’appareil – 32 Go, certes, mais cela va vite – n’est pas extensible ? De plus, le terminal dispose d’un système de stabilisation numérique baptisé « Système anti-secousse », lequel n’est accessible que jusqu’à la Full HD à 30 fps. Si l’on passe au 1080p à 60 fps ou, pire, à l’Ultra HD (4K), soit 3840 x 2160 pixels, il faudra vous en passer. Heureusement, le zoom audio découvert sur le G2, qui vous permet de sélectionner l’un des sujets de votre vidéo pour mieux concentrer la capture audio sur lui, est de la partie, quel que soit le format sélectionné ; et il fonctionne plutôt bien.

LG G Flex Bien cachée, l’UHD figure dans les réglages de l’appareil.

LG G Flex Option intéressante : le zoom de suivi, qui seconde le zoom audio.

Ce G Flex est handicapé par une définition en-deçà des standards de phablettes haut de gamme, avec seulement 720p au compteur, mais aussi par un rendu granuleux et un effet de rémanence inquiétant. Toutefois, il n'est pas désagréable de tenir en main cet écran courbé qui, en tenue paysage, se prête bien au jeu.Le capteur de 13 mégapixels du G Flex s'en sort bien, mais sans briller outre mesure puisqu'un système de stabilisation optique lui fait défaut. Même s'il n'est pas mis en avant par la marque, l'enregistrement vidéo 4K fait partie des qualités de l'appareil. Dommage que l'on ne puisse pas véritablement en profiter sur le smartphone, et qu'une mémoire extensible ne suive pas !Vraiment difficile de noter un design aussi atypique. Il faut évidemment apprécier les phablettes dont le G Flex fait sans aucun doute partie, et on apprécie l'idée de la coque capable de réparer ses micro-rayures. L'écran POLED est relativement protégé, on peut s'asseoir sur le téléphone sans craindre de le briser. Mais est-ce réellement le téléphone que l'on a envie d'utiliser au quotidien ?Rien de bien nouveau concernant le G Flex, qui adopte à peu de chose près l'interface d'un G2. Il ajoute des icônes que l'on se fera un plaisir de changer, une fonction télécommande, un multitâche bien pensé, et devrait passer à Android 4.4 KitKat très prochainement. Pour peu que l'on apprécie l'aspect coloré et un peu chargé de l'interface LG, c'est banco.Aucun problème en termes de performances avec ce G Flex, qui répond parfaitement aux attentes que l'on peut formuler envers un terminal aussi onéreux.Excellente surprise que ce G Flex, bien optimisé, avec une grosse batterie et une définition d'écran bien pratique pour économiser quelques points d'autonomie.Cette note ne reflète pas exactement la moyenne des critères ci-dessus, car d'autres paramètres doivent être pris en compte.

Le G Flex, en soi, est un beau produit : c'est un concept que l'on n'attendait pas véritablement sur le marché, une idée de designer secondée par une équipe de recherche dont le résultat tient la route. Mais il reste avant tout un produit d'image, un signe de capacités technologiques, un coup de pied dans les tibias de Samsung (et son Galaxy Round), voire, à tout prendre, un accessoire de mode.


Après tout, on ne se démarque plus en utilisant un Nexus initialement destiné aux développeurs ni un iPhone visant une cible techno-aisée... le "think different" est bien là, mais à quel prix ? Celui d'un G Flex puissant, montrant une bonne autonomie, mais dont le principal atout, son écran courbé, n'est pas encore à la hauteur.


L'intérêt que représente l'amélioration sonore obtenue par un forma incurvé est peu perceptible... et ne suffira pas à faire oublier le tarif de l'engin qui, rappelons-le, ne dispose pas d'un port pour carte mémoire. 799 euros pour un terminal 32 Go (voire un peu moins chez certains revendeurs en ligne), c'est beaucoup, et assez pour attendre un terminal aux qualités homogènes, des performances brutes à la qualité d'affichage. On en est encore loin chez cet appareil qui a osé se lancer le premier sur le marché, quitte à ne pas s'être suffisamment échauffé, et à donner envie d'attendre un deuxième round. Format originalExcellentes performancesAutonomieEnregistrement vidéo 4KQualité d'affichageMémoire non-extensiblePas de stabilisation optiquePrix élevé